Louis Amar Fils De Paul – Le 11 janvier, le monde célébrera la naissance d’un journaliste bien connu. L’âge actuel de Paul Amar est de 73 ans. Il est surtout reconnu pour son travail sur Antenne 2, mais il est aussi le cousin d’un chanteur français populaire. Le mercredi 11 janvier, nous honorerons le 73e anniversaire de Paul Amar.
Il a eu une carrière réussie en tant que journaliste politique pour France Inter et Antenne 2 dans le passé. Il a attiré l’attention du public pour la première fois en 1994, lorsqu’il a offert des gants de boxe à Jean-Marie Le Pen et Bernard Tapie après une conversation animée.
Cependant, Paul Amar n’est pas le seul membre bien connu de sa famille. Son cousin, le célèbre chanteur algérien Gaston Ghrenassia (alias Enrico Macias), qui a chanté “Les filles de mon pays”, est son oncle. Paul Amar a douze ans de plus qu’Enrico Macias. Mais en 1961, ils étaient tous les deux ensemble lorsqu’une terrible attaque s’est produite qui a changé leur vie à jamais.
Des terroristes viennent de tuer le chanteur Cheikh Raymond. Un homme a reçu deux balles et s’est effondré sous mes yeux alors que je me tenais à cinq mètres de lui, place Négrier, où mon père m’avait ordonné d’acheter du pain et du vin. Quand j’avais 10 ans, je ne l’ai pas fait. Je l’ai finalement compris quand mon cousin Gaston Ghrenassia (Enrico Macias) et son frère Jean-Claude sont arrivés en courant et que je les ai entendus pleurer de douleur”, affirmait le journaliste de France Dimanche en août 2020.
Paul Amar est redevenu un reclus
Après avoir travaillé avec I24News jusqu’à fin 2017, Paul Amar a disparu de l’industrie de l’information. Le journaliste, qui est désormais extrêmement privé, a déclaré à RTL en avril 2020 : “La télé ne me manque pas”. Le travail de journaliste est quelque chose qui me manque souvent.
J’ai toujours essayé de faire profil bas et d’ignorer l’impact négatif que ma renommée a eu sur ma vie. Certains de mes collègues confondent parfois un écran avec un miroir. Son statut actuel dans sa relation avec son cousin Enrico Macias sera caché au grand public.
Histoire de la vie
Paul Amar est né à Constantine, en Algérie, le 11 janvier 1950 ; lui et sa famille ont déménagé en France en 1961. Alors que Charles Sr. travaillait comme agent SNCF, la famille a élu domicile à la périphérie de Lyon.
Paul a débuté sa carrière dans le journalisme en 1971 après avoir été diplômé du CFJ et avoir rejoint France Inter. En 1973, il travaillait comme correspondant de guerre à Phnom Penh, au Cambodge, lorsque la guerre du Vietnam s’est prolongée en raison de l’activité des insurgés khmers. En tant que correspondant à Washington, D.C., il a couvert la campagne post-Watergate qui a finalement conduit à l’élection de Jimmy Carter à la présidence.
En 1979, le journaliste devient membre de la rédaction d’Antenne 2. Dix ans plus tard, il continue de diffuser chaque semaine Les Dossiers de l’écran en plus de ses fonctions de commentateur politique. Il anime le journal télévisé de 20 heures sur la première chaîne publique depuis 1992. Une fois le 1er juin 1994 arrivé, il a été expulsé.
L’animateur de cette soirée a été chargé d’animer un débat entre Bernard Tapie et Jean-Marie Le Pen avant les élections européennes. Amar, qui aurait été appelé par le président Jean-Pierre Elkabbach pour organiser une rencontre en personne, a l’idée choquante de sortir deux paires de gants de boxe d’un sac.
Après avoir présenté le JT sur Paris Première et remporté son premier 7 d’or du plus grand présentateur de journal télévisé, il passe à TF1 (1996-1998) avant de revenir sur France 2 pour une émission dominicale. (1998-2000). Après quelques négociations supplémentaires, l’homme aux yeux de chat décide finalement de publier son magazine Revu et corrigé (2007-2012) uniquement sur France 5. La station le licencie l’année suivante en raison de coupes budgétaires, ce qui le met d’abord KO.
Le journaliste commence à écrire une autobiographie sans s’y engager. Le livre Blessures est sorti en septembre 2014. Paul Amar affirme dans son livre et ses supports promotionnels que Jean-Pierre Elkabbach a conclu un accord avec Nicolas Sarkozy il y a vingt ans, acceptant de soutenir la campagne présidentielle d’Edouard Balladur en échange de la nomination d’Elkabbach à la tête de France Télévisions. .
Les politiques de l’intervieweur d’Europe 1 sont “des délires de mensonge”, dit-il. “Paul, l’amertume est toujours mauvaise conseillère”, lui lance-t-il devant la caméra. Aucun des deux hommes n’a déclaré victoire dans la dispute en cours entre eux.
Le 11 janvier 1950, à Constantine, en Algérie, Paul Amar entre dans le monde. Il a grandi en Algérie à son pire moment, lorsque la guerre civile a déchiré le pays. Ses parents ont décidé de déménager en France en 1961 après qu’il ait été grièvement blessé dans un attentat à la bombe.
Après leur installation à Lyon, Paul, à 18 ans, prend l’avion pour Paris, où il vend des pulls pour financer ses études à l’école de journalisme de la Sorbonne. Après avoir obtenu son diplôme en 1971, il débute sa carrière dans le journalisme à France Inter, où il couvre la guerre au Cambodge avant de s’installer aux États-Unis.
En 1979, il passe de la radio à la télévision en prenant un poste de grand reporter à France 2. Peu après son arrivéeIvé, il a été élevé au poste de chef de division politique. Il a animé le journal télévisé de 20 heures de la chaîne au début des années 90. Lors d’un débat sur les élections européennes de 1994, il est devenu célèbre en offrant des gants de boxe à Jean-Marie Le Pen et Bernard Tapie.
La chaîne est vraiment contrariée par ses actions mais l’apprécie pourtant. Malgré l’échec, il persévère dans sa carrière, d’abord sur Paris Première, puis sur France 2, et enfin sur France 5, où il anime Revu et corrige jusqu’en 2013. Il prend ses fonctions de directeur de l’information d’i24News en janvier 2016.
Fréquentation d’un collège ou d’une université
Il a été membre de la promotion inaugurale du Centre des journalistes (CFJ).
Parcours professionnel
Paul Amar a débuté dans l’industrie comme correspondant à la direction des affaires internationales de France Inter en 1971. Il a rejoint le journal en tant que correspondant en 1973, d’abord à Phnom Penh puis à Washington, DC.
Il a commencé à travailler pour le service politique d’Antenne 2 en 1979 et a ensuite animé le journal du soir du réseau. Il a commencé comme chef adjoint du département politique de la chaîne en 1981 et est finalement devenu le chef du département (1983-1989). Outre le journal du soir et l’hebdomadaire éditorial, il devient également journaliste politique et animateur des « Dossiers de l’écran » à partir de 1989.
Il a été l’animateur et rédacteur en chef du 20 heures de France 2 et du “19/20” de France 3 de 1990 à 1992. Au début du spectacle, il tend deux paires de gants de boxe à ses rivaux. Le président de France Télévisions, Jean-Pierre Elkabbach, a démissionné face au contrecoup que ses actions ont provoqué.
Paul Amar présente ensuite le journal de 20 heures (1994) sur la chaîne de télévision câblée Paris Première, lancée huit ans auparavant. Il a remporté le prix du meilleur lecteur de nouvelles télévisées (7 d’or). Après avoir animé l’année suivante une émission-débat sur TF1 (“Le Monde de Léa”), il revient sur France 2 pour animer “D’un monde à l’autre” (1997-1999), dont le but est “d’essayer de comprendre une société en mutation”.
Pour combler le vide laissé par “Polemique” sur France 2 en 1999, il lance un “magazine de décryptage de l’actualité” nommé “Dimanche midi, Amar” (DMA). En plus de son travail sur France 2, il a animé une émission d’interview de 52 minutes (“Recto-Verso”) sur Paris Première chaque semaine de 1999 à 2004. Le meilleur câble et satellite diffusé 7 d’or était sa deuxième victoire.
Quelques années après la fin de son émission « D’un monde à l’autre » sur France 2, il lance un nouveau magazine sous la même titre en 2004. Enfin, il a remplacé le journal télévisé “Arrêt sur images” de Daniel Schneidermann par “Revu et corrigé” de 2007 à 2012. Paul Amar, maintenant qu’il est sur France 5, produit ses propres émissions.
Il dirige les salles de rédaction française, anglaise et arabe de la station d’information israélienne i24news depuis mars 2015. Le journaliste a d’abord décliné l’offre de Drahi, mais Drahi est revenu plus tard et lui a proposé une mission de trois mois, qu’il a finalement acceptée.
Avec un effectif réduit, qui s’explique par la nécessité de minimiser les dépenses propres à la gestion de l’homme d’affaires franco-israélien, le journaliste chevronné partage sa sagesse avec les jeunes reporters tout en gardant une totale indépendance éditoriale. substantiel. Avec l’expansion de la société Altice, cependant, Drahi envisage de lancer une version localisée de la chaîne i24 aux États-Unis.
Pour doter la future rédaction, Paul Amar et Franck Melloul ont été accusés de “débaucher” les reporters anglophones. Melloul a reproché à Amar de ne pas connaître l’anglais, mais bientôt des disputes personnelles et stratégiques ont éclaté entre les deux hommes.
Il a finalement quitté l’entreprise début 2017, juste au moment où la filiale américaine a emménagé dans ses nouveaux sièges sociaux à New York et à Washington. Robert Wheelock, un vétéran d’Al Jazeera et d’ABC News, prendra la relève en tant que directeur de l’information.
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